Je vous entends d’ici « beuuh mais c’est génial la piscine ! » c’est ça ouais.

Déjà, il faut faire le sac, choper le bon maillot (bon c’est pas dur dans mon cas, il y en a qu’un) et de préférence un 1 pièce (gnii), moi j’ai qu’un 2 pièces, très échancré. Ahem.

Puis trouver une grande serviette, pour bien s’emmitoufler dedans quand on sort de l’eau, et de préférence, un drap de bain bien confortable (ça tombe bien j’en ai pas !). Donc pour moi ça sera la sale serviette qui pique. Mais ce n’est pas fini, nous sommes dans les temps nouveaux.

Il faut veiller aussi à emmener les lunettes de piscine, parce que le chlore ça pique (moi je les ai refilé, je vais plus à la piscine de toute façon), le FAMEUX horribilis bonnet de bain, ET, les claquettes, parce qu’a la piscine, il y a des mycoses qui trainent.

C’est bon, je crois qu’on a tout là (n’oublie pas le gouter), on peut y aller.

On arrive. Et on monte les marches (oui vous avez remarqué, faut toujours monter des marches pour pénétrer dans la piscine municipale), on va au guichet, là on doit effectivement préciser si nous sommes sans emploi/militaire/étudiant/famille nombreuses, etc. Du coup si ne t’es pas dans une de ces catégories, tu paies plein pot, et bang. Et venons-en au plus intéressant : les vestiaires.
Une fois passé au guichet, tu repasses à un autre espèce de guichet, pour donner un talon de ticket, et qu’on te donne un bracelet, pour que tu ailles aux vestiaires (individuels, je vais passer sur le calvaire des vestiaires collectifs cette fois ci, nous avons déjà les douches).

Tu arrives dans une case, qui une fois sur deux ne ferme pas. Déjà. Puis étroite. Tellement, que lorsque que tu veux enlever ta chaussure, ou ton pantalon qui sert un peu trop, il y a une sorte d’attraction physique, qui fait que d’un coup, ta tête fou un coup de boule à la porte, et que ton cul, va direct dans le mur (en fait tu as juste perdu l’équilibre).

(suite…)