Ouais les Zotres là, qui se reconnaitront,(La marquise et la Gazette là) elles parlent de L’Ardéche tout ça. Ouais bin, ya pas que l’Ardèche dans la vie, il y a la Corrèze aussi.

Souvenez vous, je ne suis pas Parisienne. Provinciale donc. Mais, je lâche la bombe, je suis originaire de Corrèze (puis aussi de la Dordogne). En gros, je CUMULE vous voyez?

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Paysanne indigne de la blogo et je vous emmerde.

La chose étrange, c’est qu’a la campagne de la Corrèze, il y a des magasins. Enfin pas n’importe lesquels quand même, je vous rappelle qu’il y a une réputation à tenir. Donc nous avons: Pimkie, Mim, Promoche, Etam, 123, dépêche mode, & co. En gros je suis pas super étonnée, que YOKO, elle trouve rien quand elle fait du shopping la bas.

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La Dordogne, c’est un peu plus dur. Plus compliqué même. Moi la bas, je me rappelle du Leclerc, et des chutes dans les bouses de vaches, puis des moutons, et des vaches et dés chèvres. J’en ai des souvenirs (ouais depuis que je suis Toulousaine, je fais ma Snob, j’y vais plus trop souvent. En vrai, une fois que j’ai eu 18 ans, j’ai décidé que…). Que j’avais passé l’âge merde.

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Donc à la campagne, chez mon oncle, en Dordogne, c’est la vraie campagne. Pas la fausse. C’est à dire que tu fais pipi dans les champs et caca dans une maison en bois, on se lave dehors, et on fait le café à la main. ON DÉCONNE PAS CHEZ NOUS.

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Quand j’étais petite la bas, je courrais après les poule, 2 ou 3 se barraient au passage, et j’accusais le chien.

Combien de fois aussi j’ai nagé dans les ronces (OUI), et flirté avec les orties. Avec mes cousins, on construisait même des cabanes dans les bois, mais qu’on terminait jamais. C’est con. Puis on jouait à Tarzan, avec les lianes, puis après elles se cassaient. (…)

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Ce qui est bien avec la campagne, c’est que tu peux faire des choses, que tu peux faire nul part ailleurs. Un jour, avec les compagnons de la conneries (mes cousins), nous sommes allés voir l’âne POMPOM (j’y suis pour rien!!). Lui je le connais depuis petite petite. Et toujours enfermé. Nous avons tous décidé d’un accord commun de le sortir un peu. Et de leur accord à tous, de me foutre dessus. Bon. Nous avons réussi à trouver le mors, la selle, toute pourrite. Et nous sommes partis.

J’ai oublié de dire que l’âne il était ni à nous, ni à mon oncle d’ailleurs.

Puis on s’est fait grillé par l’oncle justement, il nous a poursuivi, durant 30 min en tracteur, et moi j’étais sur l’âne.

Non mais, sans blague, un tracteur qui poursuit un âne, moi je dis que c’est une chose unique dans une vie. Ça tu le vois pas partout. Sauf là ou je suis.

Bon après l’âne vu qu’il était vieux, il s’est arrêté, mon oncle il m’a chopé, et les compagnons de la connerie, ils s’étaient cassés depuis une bail (on est des ptits salops dans la famille).

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Tfaçon ils ont été un peu cons, vu qu’on s’est tous fait punir.

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Et ya qu’à la campagne, que tu fais des galipettes dans les champs, au milieu des fleurs multicolores et qui dégagent une odeur subtile, sans la pollution, avec le bruit des oiseaux, qui cuicuitent et s’accouplent, l’odeur de l’herbe à la rosée du matin,… et que tu atterris dans une bouse de vache (encore) (j’en ai connu plusieurs).

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Moi, quand j’aurais des enfants, je les enverrais à la campagne. Au moins plus grands, quand ils seront dans la merde, ils seront s’en sortir. Question d’habitude quoi.

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PS: Ce même jour, j’ai appris qu’un âne, ça pouvait, comment dire…euh… Bander. Journée très trés pertubante.

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LE CONCOURS DU BOUDOIR

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